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La date de l’inhumation du député Jean-Pierre Babatoundé est connue. Décédéle 5 février dernier dans sa 71e année des suites d’un malaise, l’ancien Colonel de la douane béninoise sera conduit à sa demeure le samedi 27 février 2021, renseigne le quotidien Matin Libre.
Avant son inhumation, Jean-Pierre Babatoundé, ancien maire de la Commune de Kétou, ancien ministre de l’environnement et de la protection de la nature de 2006 à 2007 dans le tout premier gouvernement de l’ex-président Thomas Boni Yayi, et récemment ancien député de l’Union progressiste bénéficiera des hommages dus à son rang.
Selon le programme décidé par la femme, il est annoncé plusieurs manifestationsà son domicile à Sègbèya (Cotonou), au Palais des gouverneurs à Porto-Novo, dans les locaux de l’arrondissement de Kétou et enfin à son domicile à Kétou…
Après sa sortie médiatique le vendredi dernier où elle menaçait de publier des messages des élus qui lui promettaient leurs parrainages, certains députés de l’Union progressiste ont à nouveau réagi. Ils ont invité la candidate du parti Les Démocrates à aller au bout de ses allégations en publiant lesdists messages.
Et dans un message ce 15 février, Réckya Madougou qualifie cette démarche de « diversion ».
Pour elle, les aveux des députés sont pourtant suffisants. En outre, elle rappelle que les captures d’écran seront remis à la justice.
« Diversion de l’UP », introduit t-elle, avant de dérouler « Tout le monde aura compris que les députés nommés de l’UP donnent dans la distraction. Ils demandent encore une capture d’écran alors qu’il y a eu mieux que capture d’écran : le témoignage à visage découvert de deux de leurs collègues (l’un qu’ils ont eux même cité parce qu’il a eu le courage de prononcer mon nom au Président Talon et en leur présence et le second dans des interviews publics). D’ailleurs si leurs manœuvres ne sont pas mises à nu, pourquoi initient-ils délégations sur délégations auprès de l’honorable Souwi pour tenter de lui faire changer sa déclaration? Mes captures d’écran au besoin sont destinées à la justice, pas aux députés nommés de l’UP. Ils connaissent bien ceux d’entre eux qui épousent mon idéal pour notre pays et sont avec moi. Ils savent aussi ce qu’ils font subir en ce moment à ces derniers pour les faire craquer. Certains d’entre eux vivent une forme de séquestration qui ne dit pas son nom pour les empêcher de parler, de se déplacer. J’accumule tout ».
Dapkpè Sossou apprécie la candidature de Réckya Madougou à la présidentielle du 11 avril 2021. Dans un entretien accordé à la télévision en ligne BM Tv)et repris par le site Bénin Web Tv, le député de l’Union progressiste a préféré s’appuyer sur un critère physique pour donner son avis sur la crédibilité de la candidature de la candidate du parti Les Démocrates. Et ce, loin des compétences intellectuelles ou politiques de cette dernière.
Sans détour, le ‘‘natif de Lokossa’’ a fait remarquer que la beauté de Réckya Madougou constitue un handicap pour elle dans la course présidentielle.
Pour lui, « comme une réserve minière », la candidate du parti Les Démocrates est trop « belle » pour diriger le Bénin.
Dakpè Sossou prévient que son charme risque de menacer la quiétude du pays.
« Une belle femme comme ça, c’est comme on le dit, des réserves minières d’un pays… Si vous la considérez comme une mine d’or, une très belle femme, inégalable, charmante, à la tête d’un pays, je ne pense pas que vous ayez la paix comme nous en avons actuellement au Bénin », a-t-il confié d’après des propos transcrits par Bénin Web Tv.
Comme quoi, la candidate du parti Les Démocrates, qui a d’ailleurs vu son dossier de candidature invalider par la Céna, est victime de sa beauté.
Réponse du berger à la bergère ! Réckya Madougou réagit après la sortie des députés du groupe parlementaire de l’Union progressiste.
Face la presse ce vendredi 12 février 2021, la candidate du parti Les Démocrates a dénoncé la « mauvaise foi, le mensonge, la manipulation » de certains députés.
Contrairement aux allégations de certains élus qui disent n’avoir pas été rapprochés pour le parrainage, Madougou crie à l’intox.
Malgré l’avis contraire de certains membres du parti, et pour « évaluer la bonne foi de ses vis-à-vis », Madougou dit avoir bel et bien pris contact avec des élus de la mouvance pour obtenir leurs parrainages.
« De bonne foi, j’ai personnellement pris contact avec des députés et maires, J’ai contacté des députés et maires », rassure t-elle.
En outre, Réckya Madougou révèle que des élus de la majorité présidentielle qui ont suscité sa candidature lui ont garanti leurs parrainages.
« Ces députés et ces maires qui sont venus me voir… Ceux que moi-même ; j’ai rencontré. Je leur ai fait l’amitié de dire, écouter vous avez des collègues qui sont venus me voir, ils veulent me parrainer, est ce que vous voudriez vous ajouter à la démarche ? Ils m’ont dit pas de souci », a-t-elle ajouté.
Puis de confier qu’elle a encore les traces des conversations avec ces derniers, qu’elle pourrait les publier en cas de réaction.
« …j’ai encore les traces des messages que nous échangé …Pis, pour ceux qui s’adonnent à la mythomanie, j’ai des échanges sur mon téléphone, Ce n’est pas la peine qu’ils cherchent à kidnapper mon téléphone. J’ai fait des captures d’écran. J’ai fait des constats d’huissier. J’ai mis sous scellé, donc j’attends… Ceux qui disent que je n’ai pas approché des députés de la majorité présidentielle, je les défie d’en apporter la preuve… J’attends leurs réactions, S’ils réagissent, je viendrai avec les captures d’écran et les messages de ceux avec qui j’ai échangé et ce que chacun a dit »
Chefs de parti
Dans sa déclaration, Réckya Madougou a toutefois laissé entendre que la bonne foi de certains élus d’accompagner des candidats de l’opposition s’est heurté au diktat des chefs de partis de la mouvance.
La candidate du parti Les Démocrates a, à nouveau, martelé que les formulaires de parrainage pourtant personnel ont été « confisqués » par les « chefs de partis ».
« Quand ils sont allés retirer leurs formulaires de parrainage, alors que la loi dispose que c’est un acte individuel, mais ce sont les responsables des partis qui ont récupéré les formulaires de leurs mains. Donc, ils n’étaient plus détenteurs de leurs formulaires. Les formulaires sont confisqués. Je l’ai dit le jour où je suis allé déposer ma candidature. Les formulaires de parrainage ont été confisqués », révèle t-elle, avant de déplorer « Voilà le pays dans lequel nous sommes ».
Des 152 élus de la mouvance présidentielle qui disaient être prêts à parrainer un candidat de l’opposition à la présidentielle du 11 avril 2021, un seul a joué franc jeu. Son nom : l’honorable Mama Sanni. En tout cas, selon les révélations de la candidate du parti Les Démocrates.
Au détour d’un point de presse à Cotonou ce jeudi 12 février, Réckya Madougou a mis en lumière l’honnêteté du député de l’Union progressiste.
Elle a confié que seul Mama Sanni a eu le courage dire au chef de l’Etat, Patrice Talon qu’elle avait sollicité son parrainage.
« …Ce n’est pas pour rien qu’ils ont cité l’honorable Sanni. Ils ont cité l’honorable Sanni, qui est honnêtement un citoyen, qu’il faut franchement saluer avec la plus grande vigueur et le plus grand respect …A l’une de leur rencontre avec le chef de l’Etat qui leur demandait est ce que des candidats de l’opposition vous ont sollicité, aucun d’eux, y compris ceux qui m’ont démarché, aucun d’eux n’a eu le courage de dire oui, sauf l’Honorable Sanni qui s’est levé en disant monsieur le Président, je dois vous dire la vérité. La candidate Réckya Madougou m’a sollicité, a sollicité mon parrainage… il a ajouté, il y en a d’autres parmi nous, mais ils ne vous disent pas la vérité », a confié Réckya Madougou répondant à la sortie des députés du groupe parlementaire Union progressiste.
Sans doute agacé par les derniers propos des députés de la 8è législature, élus dans un contexte très particulier, Guy Dossou Mitokpè sort de sa réserve. Très discret sur l’actualité politique nationale et dans une posture de ‘‘coach’’ depuis un bon moment, l’ancien député a taclé les représentants du peuple.
Sur sa page facebook, il a dénoncé l’arrogance de ces derniers, qu’il qualifie de « dépité » et non de député.
« Et comme si cela ne suffisait pas, ces dépités nommés sont arrogants », a fustigé le secrétaire général du parti Restaurer l’Espoir.
Abdoulaye Gounou répond aux récriminations de l’opposition sur le parrainage. Interrogé par Frissons Radio, le député du Bloc républicain dit constater « un dialogue de sourd entre l’opposition et la mouvance ».
Toutefois pour lui, « la loi, c’est la loi », et la polémique sur le parrainage n’a plus droit d’exister, car soutient Abdoulaye Gounou « On ne peut pas supprimer le parrainage aujourd’hui. Le parrainage devient un fait….en l’état actuel le parrainage, n’est pas supprimable et demander qu’on supprime le parrainage, c’est afficher une volonté manifeste de ne pas aller aux élections. Point bas. Il n’y a rien en dessous ».
Le député du Bloc républicain rassure que les élus de la mouvance qui détiennent 152 des 159 parrainages étaient disposés à parrainer tous les candidats de l’opposition, mais que cela n’a pas été possible face à l’attitude de ces derniers.
« nous sommes disposés à parrainer les candidats Démocrates, Fcbe , Restaurer l’espoir et tout ce que vous voulez. Nous étions disposés à le faire. C’est eux-mêmes qui disent, nous ne voulons pas de parrainage, nous ne sommes pas demandeurs, même si on nous en donne, nous n’en voulons pas… on ne comprend plus rien. Est-ce qu’on peut vouloir une chose et son contraire ? », avance Abdoulaye Gounou.
Pour finir, le député du Bloc républicain invite l’opposition « à attendre son tour » et à « s’organiser » pour provoquer « l’alternance au Parlement » et modifier les lois selon ses désirs en son temps.
Sanni Mama était au siège de la Commission électorale nationale autonome ce 25 janvier 2021. Le député de la 23 ème circonscription électorale y était pour retirer son formulaire de parrainage. Une fois l’acte républicain et constitutionnel accompli, il s’est prêté aux questions des journalistes. Le député de l’Union progressiste a profité pour justifier et souligner l’importance de la reforme du système partisan avec l’avènement du parrainage.
« Nous avons tous déploré la kyrielle de partis que nous avons dans ce pays. Cela n’honore pas la démocratie béninoise. C’est ça qui nous a emmenés aux réformes du système partisan qui a abouti au parrainage. Désormais, n’importe qui ne peut plus venir prendre le pouvoir s’il n’a pas un parcours politique, s’il n’est pas d’un parti politique. Je suis donc fier de venir concrétiser ce que nous avons voté à l’Assemblée nationale » a t-il laissé entendre.
Et à la question de savoir s’il peut donner son parrainage à un autre candidat, outre que Patrice Talon, il répond : « Vous savez, le problème de nous les Béninois, c’est que nous avons des préjugés et des préjugés souvent négatifs. C’est dommage. On fera avec. Mais tôt ou tard, les gens finiront par comprendre qu’il y aura une élection inclusive. Il y aura assez de candidats. Et ils verront que des députés Up, Br, des maires Fcbe vont parrainer quelque candidat leur parti juge qu’il peut conduire les destinées de ce pays ». Puis de lancer : « C’est de ça qu’il s’agit. Il faut cesser de voir Patrice Talon derrière tout. Nous sommes quand-même des responsables et au-delà de tout, c’est le pays d’abord avant Patrice Talon lui-même ». Manassé AGBOSSAGA
Le député Badirou Aguémon se prononce sur le parrainage. De passage au siège de la Commission électorale nationale autonome (Céna), ce mercredi 20 janvier 2021 pour retirer son formulaire de parrainage, l’élu de l’Union progressiste s’est notamment dit ouvert à donner son parrainage à un candidat, outre que le président Patrice Talon, désigné par son parti.
Toutefois, il a posé une seule condition. « Je suis prêt à parrainer n’importe quel candidat, mais à une seule condition, que ce candidat soit affilié à une formation politique », a déclaré Badirou Aguémon, avant d’ajouter « Nous ne voulons plus de candidats farfelus ».
Pour lui, ce candidat doit être représentatif afin de rester dans la même dynamique de la reforme sur le système partisan.
Badirou Aguémon profite pour lever les craintes de l’opposition et fait savoir qu’il y a suffisamment de parrains pour parrainer un candidat issu d’un parti régulièrement enregistré. Et de lancer « Il y a assez de parrains… Que ce soit Les Démocrates, les FcBe, DUD, …avec plaisir, on va leur donner le parrainage, parce que la présidentielle, c’est une compétition ».
L’ancien membre du Parti du renouveau démocratique fait alors remarquer que la polémique sur le parrainage n’est pas justifiée.
Pour finir, Badirou Aguémon a salué l’équipe de Tiando pour le dispositif mis en place qui facilite le retrait sans anicroche du formulaire de parrainage.
« Mes impressions sont très bonnes par rapport à l’organisation. Je tiens à féliciter le président de la Céna et toute son équipe pour cette organisation parfaite mise en place pour recevoir les élus », a-t-il déclaré.