Actions de développement: Les sages de Gbèdégbé encouragent Gatien Adjagboni

A son tour, l’hôte a remercié les sages pour cette invitation et pour ces prières pleines de bonne intention à son endroit. Fidèle à son slogan ‘‘Servir autrement la communauté’’, Gatien Adjagboni a pris l’engagement de poursuivre son œuvre de bienfaisance et donc se donner à 100% pour le bien être de la communauté…

Les sages de Gbèdégbé reconnaissent les nombreux efforts de développement du président du creuset ‘‘MITCHITE’’. Répondant à l’invitation de ces derniers, Gatien Adjagboni a eu droit à un chapelet de mots de reconnaissance et d’encouragement.

« Je n’ai pas eu la chance de rendre à ton père  ce qu’il a fait de bien à moi et à ma famille avant sa mort », a déclaré avec émotion Emile Azaï, avouant au passage que les parents du président du creuset ‘‘MITCHITE’’ étaient leur bienfaiteur.

Fier de voir Gatien Adjagboni emboîté les pas de ses parents, Pierre Béhanzin, l’un des sages a,  au nom de ses pères,   imploré les mânes de nos ancêtres à accorder une robuste santé à l’homme.

A son tour, l’hôte a remercié les sages pour cette invitation et pour ces prières pleines de bonne intention à son endroit. Fidèle à son slogan ‘‘Servir autrement la communauté’’, Gatien Adjagboni a pris l’engagement de poursuivre son œuvre de bienfaisance et donc se donner à 100% pour le bien être de la communauté.

Manassé AGBOSSAGA

Kassa Mampo: «Je suis pratiquement député sans être à l’Assemblée nationale»

Des 83 députés de la 7è législature, vous connaissez le très populaire  Barthélémy Kassa. Et bien sachez qu’en dehors de lui, un autre représentant du peuple porte ce patronyme. Son nom Nagnigni Kassa  Mampo…

Des 83 députés de la 7è législature, vous connaissez le très populaire  Barthélémy Kassa. Et bien sachez qu’en dehors de l’homme de PPEA 2, un autre représentant du peuple porte ce patronyme. Son nom Nagnigni Kassa  Mampo.

En effet, fidèle à son style humoristique, Nagnigni Kassa Mampo s’est autoproclamé élu du peuple. «  Je suis pratiquement député depuis des années sans être à l’Assemblée nationale », a fait savoir le secrétaire général de la Confédération syndicale des travailleurs du Bénin à Kpakpato Médias en marge de la deuxième journée du séminaire sur la reforme du système partisan.

Malgré ses nombreux échecs aux législatives, l’homme se base sur ses combats pour le bien-être des populations pour revendiquer son titre de député. « J’ai été candidat à plusieurs reprises,  mais je n’ai pas été élu, parce qu’il y a l’argent, parce qu’il y a la corruption. Je défends les populations, les travailleurs… Je connais des députés, qui ne défendent que leurs intérêts et qui votent des lois contre le peuple », justifie t-il.

En tout cas, ce fut un grand honneur pour  Kpakpato Médias d’avoir eu droit à un entretien avec l’Honorable Nagnigni Kassa Mampo.

Manassé AGBOSSAGA

Communication et liberté de presse sous le Nouveau départ: Les indignations de Narcisse Tomèty

L’ancien directeur de l’Ecole de la Nouvelle conscience fustige la communication gouvernementale. Du moins,  telle qu’elle se passe actuellement. A travers un post sur sa page facebook, Simon Narcisse Tomèty a exprimé son indignation au sujet de la communication publique à l’ère du régime de la ‘‘Rupture’’…

L’ancien directeur de l’Ecole de la Nouvelle conscience fustige la communication gouvernementale. Du moins,  telle qu’elle se passe actuellement. A travers un post sur sa page facebook, Simon Narcisse Tomèty a exprimé son indignation au sujet de la communication publique à l’ère du régime de la ‘‘Rupture’’.

« On ne confie pas la communication publique à des diffuseurs d’arrogance, des vendeurs de poudre de perlimpinpin ou à des apprentis sorciers », a déploré l’Institutionnaliste.

Puis dans un autre post de remettre en cause la liberté de presse à l’ère du Nouveau départ. « Quelle est cette gouvernance publique qui enrôle les organes de presse par des rentes de corruption et à qui on rédige des textes à publier ? Où est la liberté », s’interroge Simon Narcisse Tomèty.

Et comme s’il avait la réponse à ses questions, l’avocat-défenseur de la Nouvelle conscience lors de la présidentielle de 2016 interpelle le professionnalisme des hommes des médias.

« La presse béninoise est moins que vidomegon. Ce n’est plus cette presse chaleureuse et audacieuse avec qui nous étions au front jusqu’à un passé récent », regrette l’homme, visiblement très nostalgique du bon vieux temps.

Wilfried Léandre Houngbédji, directeur de la communication du gouvernement, Edouard Loko, Directeur de la communication du président de la République, l’Union des professionnels des médias, le patronat de la presse et autres professionnels des médias apprécieront !

Manassé AGBOSSAGA

Séminaire sur la reforme du système partisan: Un « folklore » selon Kassa Mampo

Le séminaire sur la reforme du système partisan organisé les jeudi 15 et vendredi 16 février 2018 à l’hôtel Azalaï n’emballe pas  le secrétaire général de la Confédération syndicale des travailleurs du Bénin (CSTB) et membre du Parti communiste du Bénin (PCB). Présent lors de la deuxième journée des assises, Nagnigni Kassa Mampo a livré à Kpakpato Médias ses sentiments de frustration et de déception…

Le séminaire sur la reforme du système partisan organisé les jeudi 15 et vendredi 16 février 2018 à l’hôtel Azalaï n’emballe pas  le secrétaire général de la Confédération syndicale des travailleurs du Bénin (CSTB) et membre du Parti communiste du Bénin (PCB). Présent lors de la deuxième journée des assises, Nagnigni Kassa Mampo a livré à Kpakpato Médias ses sentiments de frustration et de déception.

« Ils sont venus faire du folklore  pour dire qu’ils consultent  le peuple. Lorsque vous émettez une opinion contraire,  comme ils sont majoritaires, ils crient sur vous. Ils vous empêchent de parler… Le projet vient de Patrice Talon qui a remis à ses députés, comme ils savent que ça va poser des problèmes,  ils font semblant d’organiser une consultation populaire », déplore t-il.

Pour le secrétaire général de la CSTB et membre du PCB, le folklore est d’autant plus grand qu’il se fait autour d’une action téléguidée et  qui n’a d’ailleurs pas sa raison d’être.

« C’est un projet du Chef de l’Etat,  qui dans sa tentative de caporaliser la vie dans tous les secteurs, d’avoir les institutions, d’avoir tout sous sa coupe propose que les partis politiques soient gérés pratiquement depuis la présidence … mais cette reforme est à ranger. L’ancienne charte est encore meilleure. On ne peut pas caporaliser les partis », fait savoir Kassa Mampo.

Et si les représentants du peuple qu’il   qualifie de « députés vassalisés » s’obstinaient à réviser la  charte des partis politiques, le secrétaire général de la CSTB dit compter sur la jeunesse pour les ramener à l’ordre.

Un homme averti en vaut deux, dit –on.

Manassé AGBOSSAGA

Nourénou Atchadé : « FcBe, c’est une formation politique planétaire »

Invité de  l’émission ‘’90 minutes pour convaincre’’  de la radio nationale de ce dimanche 18 février 2018, le secrétaire à l’information et porte-parole du néo parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FcBe) n’a pas manqué de mots pour louer la puissance de sa formation politique. Pour Nourénou Atchadé, l’ex-alliance de par ses représentants dans les conseils municipaux, communaux, à l’Assemblée nationale, et surtout avec les …

Invité de  l’émission ‘’90 minutes pour convaincre’’  de la radio nationale de ce dimanche 18 février 2018, le secrétaire à l’information et porte-parole du néo parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FcBe) n’a pas manqué de mots pour louer la puissance de sa formation politique. Pour Nourénou Atchadé, l’ex-alliance de par ses représentants dans les conseils municipaux, communaux, à l’Assemblée nationale, et surtout avec les tentatives du pouvoir en place de déstabiliser ses membres  reste unique et la plus grande au plan national.  Très fier de cela, le député très superlatif lance « FcBe, c’est une formation politique nationale, …pourquoi pas planétaire ».

A chacun d’apprécier !

Manassé AGBOSSAGA

Politique et développement: Gatien Adjagboni reçoit le quitus des dignitaires religieux traditionnels

Décidément entre Gatien Adjagboni et les soutiens, c’est une histoire d’amour. Après les jeunes, les sages, les femmes, les personnes handicapées, les Imams, … c’est autour des dignitaires religieux traditionnels du 11è arrondissement de Cotonou d’apporter leur bénédiction au président du creuset ‘‘MITCHITE’’ et à toute son équipe. La cérémonie   de soutien et de déclaration des mérites de Gatien Adjagboni a eu lieu dans la matinée de ce dimanche 4 février 2018 au siège du creuset MITCHITE…

Décidément entre Gatien Adjagboni et les soutiens, c’est une histoire d’amour. Après les jeunes, les sages, les femmes, les personnes handicapées, les Imams, … c’est autour des dignitaires religieux traditionnels du 11è arrondissement de Cotonou d’apporter leur bénédiction au président du creuset ‘‘MITCHITE’’ et à toute son équipe. La cérémonie   de soutien et de déclaration des mérites de Gatien Adjagboni a eu lieu dans la matinée de ce dimanche 4 février 2018 au siège du creuset MITCHITE.

A l’occasion,  les dignitaires religieux traditionnels du 11è arrondissement de Cotonou  ont reconnu les initiatives de développement à la base entreprises par Gatien Adjagboni.

« Le président Gatien Adjagboni fait partie des rares personnes à plus s’intéresser au développement de notre arrondissement » a fait remarquer un des chefs traditionnels.

Face à cette gratitude, Gatien Adjagboni a, à son tour, remercié les dignitaires qui ont effectué le déplacement et exprimé au passage la confiance et l’intérêt qu’ils portent à son égard. Très à l’aise, il a ensuite expliqué sa démarche et la raison de  la mise en place de ‘‘MITCHITE’’  qui martèle  t-il « donnera un ouf de soulagement aux jeunes porteurs d’idée d’entreprise d’une part et un regard particulier sur le social d’autre part ».

Suite à cette assurance, les dignitaires religieux traditionnels du 11è arrondissement de Cotonou ont,  par le biais du chef couvent Hounon Tossoukpè Tatakpo, imploré les mânes de nos ancêtres à veiller sur Gatien Sèdami Adjagboni pour un aboutissement heureux de ses initiatives.

Qu’il en soit ainsi !

Simon Narcisse Tomèty à ses détracteurs: « Vous me devez du respect et je l’exige »

« Si les frais de renseignements sont mis sur les salaires des préfets c’est une erreur grave car on ne saurait mettre sur le salaire d’un Président les fonds de la caisse noire par exemple. Je reste sur ma faim…

Victime d’attaques depuis ses publications dénonçant certaines dérives du gouvernement de la ‘‘Rupture’’ et surtout sa lettre ouverte fustigeant  le salaire astronomique des ministres, préfets et autres, Simon Narcisse Tomèty a  invité ses détracteurs à la courtoisie. A travers un post sur sa page Facebook et intitulé « « Vous me devez du respect et je l’exige », l’Institutionnaliste qui n’a pas manqué de donner des coups insistant au passage sur son expérience et  son  degré d’amour pour le Bénin, a martelé qu’il mérite le  respect des uns et des autres.  L’ancien directeur de l’Ecole de la nouvelle conscience en a profité pour donner des cours sur  le renseignement territorial.  Kpakpatomédias vous propose la réplique de l’homme.

 

« Vous me devez du respect et je l’exige »

« Si les frais de renseignements sont mis sur les salaires des préfets c’est une erreur grave car on ne saurait mettre sur le salaire d’un Président les fonds de la caisse noire par exemple. Je reste sur ma faim.

Le renseignement doit cesser d’être un mythe. En 2009 avec un Général français, conseiller à la défense globale du président Bozizé, nous avions animé une journée d’imprégnation des députés sur le renseignement territorial en Centrafrique. J’en étais le formateur.

Au Bénin, c’est moi qui ai fait élaborer et introduire au CeFAL un cours sur le renseignement territorial. Ce n’est personne d’autre. Madame la Ministre Hatcheme était à l’écoute de mes suggestions. J’ai été suivi par l’UE et le travail a été fait par le Général Celestin Guidimé sous ma coordination technique.

La rupture va dire qu’il ne s’agit pas d’un leg positif du Président Yayi?

J’ai appris à reconnaître le mérite de chacun. Je ne fais pas partie des gens financés pour injurier les autorités. J’enseigne la symbolique du pouvoir d’État et je sais aussi ce qui fait écrouler la puissance publique.

Qui ne sait pas que j’ai été dur mais honnête envers le régime Yayi. Pourtant, personne ne m’injuriais, personne ne disait que je mentais. Qui peut dire que mes prises de positions ouvertes contre le régime Yayi et surtout les messages que je passais durant ces trois ans comme le formateur en chef de l’école de la nouvelle n’ont pas profité à la venue de M. TALON au pouvoir? Les profiteurs qui m’injurient, eux ils avaient pris quels risques pour le pays? Eux, ils étaient dans leurs calculs de postes et gros salaires? Qui d’eux a mis un centime pour animer l’école de la nouvelle conscience? J’attends une réponse honnête et immédiate pour apprécier vos capacités à être honnêtes avec vous-mêmes.

Parmi vous que celui qui m’a aidé à concevoir les 57 leçons sur l’éducation à la citoyenneté se fasse révéler. Arrêtez vos arrogances! Vous êtes très forts aujourd’hui mais le Bénin ne vous appartient pas.

Mon nom est inconnu sur la liste de ceux qui allaient prendre de l’argent chez les hommes d’affaires et les politiciens pour venir déverser des énormités sur la personne du président Yayi.

On parle de mes relations avec M. Azanai alors qu’on ne se connaît même pas, on n’a aucun lien. Que de non sens. Je laisse chacun raconter tout ce qu’il veut sur ma lettre ouverte. C’est une lettre écrite professionnellement par un institutionnaliste formateur de cadres réformateurs. Viendra un moment où je démontrerai ce qui différencie ma lettre ouverte de ce piteux concept de normo communication.

Je n’ai pas tout oublié de mes cours sur la communication et le phénomène des pertes de charges entre émetteur et récepteur.

Arrêtez de nous mystifier. Nous avons fait aussi de hautes études comme vous. Ce qui nous différencie C’est l’expérience et le degré d’amour pour ce pays.

J’ai intégré le SACRIFICE dans ma vie depuis 1984 et merci au Général Kerekou et au ministre Adolphe Biaou et son cabinet.

Vous me devez du respect et je l’exige. »

Adresse pacifique de Yayi à Talon : La preuve que les loups évitent de se manger entre eux

Présent au congrès des Forces cauris pour un Bénin émergent (FcBe) le samedi 10 février  dernier à Parakou, Boni Yayi a adressé un message pacifique  à l’endroit de son successeur, Patrice Talon. Si cette posture  traduit une sagesse, elle confirme toutefois que les loups ne se mangent pas entre eux, ou sinon qu’ils font tout pour ne pas se manger entre eux…

Présent au congrès des Forces cauris pour un Bénin émergent (FcBe) le samedi 10 février  dernier à Parakou, Boni Yayi a adressé un message pacifique  à l’endroit de son successeur, Patrice Talon. Si cette posture  traduit une sagesse, elle confirme toutefois que les loups ne se mangent pas entre eux, ou sinon qu’ils font tout pour ne pas se manger entre eux.

Manassé AGBOSSAGA

Le doux discours de Boni Yayi à l’endroit de celui qu’il considère désormais comme ‘‘son frère et ami’’ n’est en réalité que la suite logique d’un processus de pacte de non agression entre son successeur et lui.  Très tôt, l’ancien président de la République et l’actuel locataire de la marine ont posé des actes de non déclaration de guerre, après la longue guéguerre de 2012. Après l’élection de Patrice Talon malgré tous les moyens mis en marche par le leader des ‘‘Cauris’’ pour empêcher cette victoire, Boni Yayi a vite fait d’offrir une bible à son successeur. Au-delà des diverses appréciations  et interprétations, ce geste a démontré la volonté  de l’ancien président de la République de ramener la balle à terre et de ne pas renforcer le front de guerre.

Ensuite, il y a eu ce rendez-inattendu de l’autre côté de la lagune ébrié. A leur grande surprise, les béninois ont été informés d’une tentative de réconciliation entreprise par les présidents ivoiriens Alassane Dramane Ouattara  et Faure Eyadéma, en avril 2016.  Comme l’a révélé le magazine panafricain Jeune Afrique, « Boni Yayi et Patrice Talon se sont parlé pendant près de 4h dans les salons de la résidence Ado d’abord entourés de Solitoki Esso, ministre d’Etat en charge des affaires présidentielles du Togo, de Reckya Madougou, ancien garde des sceaux et ministre de la Justice du Bénin, des ministres  ivoiriens de l’intérieur Hamed Bakayoko et des affaires étrangères Mabri Toikeuse,  puis des présidents ivoiriens et togolais.

Ce début de réconciliation  a cédé place au  rendez-vous médiatisé du 18 avril 2016 où les ‘‘ennemis d’hier’’ ont devant la presse ivoirienne signé le calumet de la paix. « Il y avait cette complicité entre mon frère Patrice et moi », avait lancé l’homme de Tchaourou.

Fidèle à ce pacte de non agression, Boni Yayi a adressé un message pacifique à son frère ce samedi 10 février. Présent au congrès des FcBe, l’ancien président de la République  pourtant habitude aux invectives, n’est pas tombé dans les attaques. Pour sa première déclaration officielle depuis son départ de la marina, ‘‘Yinwè’’ s’est voulu être l’apôtre d’un discours rassembleur et pacifique, surtout à l’endroit du magnat du coton.

« Patrice talon, c’est mon frère,  c’est mon ami, Je voudrais demander à mon frère d’écouter le peuple », a martelé Boni Yayi.

C’est donc une évidence, les querelles entre les deux hommes sont voilées pour rester en phase avec l’adage qui dit que « les loups ne se mangent pas entre eux ».

Pendant que la farce a lieu, les klébés comme Rachidi Gbadamassi, Barthélémy Kassa, Frédéric Béhanzin, d’une part  seront obligés de ravaler leur vomissure pour éviter de se faire broyés.

C’est aussi ça la politique !

Actions de développement: Les enseignants de la 16è circonscription félicitent Adjagboni

Les enseignants de la 16è circonscription électorale louent les mérites de Gatien Adjagboni. Au détour d’une séance d’échanges entre  ces derniers et le Chantre du ‘‘Servir autrement la communauté’’, ce samedi  3 février dans le 11è ’arrondissement de Cotonou, ils ont exprimé toute leur admiration à l’homme, qui d’ailleurs est un fils d’enseignant de père et de mère. Séduits par les actions de développement du président du creuset ‘‘MITCHITE’’  à l’endroit des jeunes, des femmes, des personnes handicapées, bref de toutes les couches  sociales, les enseignants de la 16è circonscription électorale n’ont pas manqué de qualificatifs pour vanter les mérites de ce fils d’enseignant…

Les enseignants de la 16è circonscription électorale louent les mérites de Gatien Adjagboni. Au détour d’une séance d’échanges entre  ces derniers et le Chantre du ‘‘Servir autrement la communauté’’, ce samedi  3 février dans le 11è ’arrondissement de Cotonou, ils ont exprimé toute leur admiration à l’homme, qui d’ailleurs est un fils d’enseignant de père et de mère. Séduits par les actions de développement du président du creuset ‘‘MITCHITE’’  à l’endroit des jeunes, des femmes, des personnes handicapées, bref de toutes les couches  sociales, les enseignants de la 16è circonscription électorale n’ont pas manqué de qualificatifs pour vanter les mérites de ce fils d’enseignant.

Pour l’un des enseignants, l’auteur du ‘‘Servir autrement la  communauté’’ est à l’image de son père, un homme généreux et prêt à se sacrifier pour le bien-être des autres.

« J’ai connu Gatien Adjagboni à l’époque il n’avait que neuf ans » a ajouté Jules  Kpamegan, un des enseignants présents à la rencontre, comme signifier que Gatien Adjagboni n’est pas un inconnu.

Face à ces éloges, Gatien Adjagboni n’est toutefois pas tombé dans la suffisance. Avec humilité, et tout en remerciant les uns et les autres pour ces doux mots à son intention, le fils d’enseignant de père et de mère a expliqué les principes qui guident ses actions. Gatien Adjagboni a, dans cette lancée, expliqué le   contenu du creuset ‘‘MITCHITE’’ ainsi que les actions déjà menées en faveur des jeunes entrepreneurs et des femmes. Il a alors rappelé que le  slogan ‘‘Servir autrement la communauté’’ a pris naissance du creuset ‘‘MITCHITE’’.

Visiblement rassurés par les explications de l’homme, les enseignants de la 16è circonscription électorale ont, au bout de trois heures d’échanges, pris l’engagement de rejoindre la grande famille MITCHITE.

Gatien Adjagboni et sa troupe gagnent donc  du terrain !

Manassé AGBOSSAGA

Politique: Epiphane Quenum tacle Candide Azannaï

Invité de l’émission ‘‘Cartes sur table’’ de la radio Océan Fm de ce dimanche 11 février 2018, Epiphane Quenum a emboîté les pas à Loth Houénou, Aubin Adoukonou, … Avec ironie et sans détour, l’ancien député à l’Assemblée nationale a taclé Candide Azannaï…

Invité de l’émission ‘‘Cartes sur table’’ de la radio Océan Fm de ce dimanche 11 février 2018, Epiphane Quenum a emboîté les pas à Loth Houénou, Aubin Adoukonou, … Avec ironie et sans détour, l’ancien député à l’Assemblée nationale a taclé Candide Azannaï.

Manassé AGBOSSAGA

Décidément, c’est  la saison des attaques contre le président du parti Restaurer  l’Espoir, depuis sa sortie médiatique en date du 21 janvier à Majestic de Cadjèhoun. Après le clown politique de Loth Houénou, le directeur général du Centre national de sécurité routière, Aubin Adoukonou,… c’est autour de l’ancien député Epiphane Quenum de critiquer ouvertement Candide Azannaï. Sur l’émission ‘‘Cartes sur table’’, le président du Rassemblement pour la démocratie et la République (RDR) a égratigné l’ancien ministre de la Défense.

Sans être interrogé sur la question, Epiphane Quenum a rappelé le rôle joué par le président du parti Restaurer l’Espoir dans la réélection de Boni Yayi en 2011, et notamment le K.O.

« … Ce qui a permis à Boni Yayi avec le soutien de certains députés, je veux nommer Candide Azannaï à réaliser le K.O. Comme les intérêts particuliers sont parfois au-dessus des intérêts généraux,  on a apprécié ce K.O Tchéké. Les mentors, les supports de ce K.O s’en ventaient en disant que c’est tchéké… », ironise  l’ancien membre de la Renaissance du Bénin.

Après cela, Epiphane Quenum enchaine ses attaques grâce à l’aide du journaliste. Interrogé sur les raisons avancées par Candide Azannaï pour justifier sa démission  du gouvernement, le président du RDR fait un tacle hypocrite. « C’est un ami,  je n’aime pas souvent me  prononcer sur ceux que disent les amis », lance t-il d’entrée de jeu.

Toutefois, Epiphane Quenum n’hésite pas à violer son principe.  « Par rapport à ça,  je dis, je m’inscris en faux.  Ces des propos démagogiques.  Je le dis et je l’assume », ajoute dans la foulée l’ancien député de la Renaissance du Bénin.

Comme s’il était dans le secret des dieux, l’invité de ‘‘Cartes sur table’’ fait savoir que la démission de Candide Azannaï du gouvernement se cache dans l’insatisfaction de ses intérêts personnels.

« Si les intérêts qu’il recherchait lui-même était atteints,  on aurait pas connu ça », confie l’ancien préfet des départements de l’Atlantique et du Littoral.

Pour Epiphane Quenum, les crises de leadership entre Candide Azannaï, Joseph Djogbénou, Abdoulaye Bio Tchané et Pascal Koupaki sont également à la base du départ de l’homme du navire du Nouveau départ.

« Comme nous sommes en politique, il fallait cacher les intérêts particuliers recherchés et non satisfaits, il faut les masquer et noircir le régime », déclare enfin Epiphane Quenum, ancien soutien du candidat, Lionel Zinsou à la présidentielle de 2016.

Le ‘‘tamtameur’’ et grand spécialiste de la consommation des grains d’arachide à l’Assemblée nationale n’a donc pas loupé son « ami ».