Ils ont fait honneur à toute la Nation béninoise à Toulouse. Les comédiens du Centre d’accueil d’éducation et d’intégration des sourds du Bénin ont fait forte sensation au Festival international de théâtre ‘‘Eclair de scène’’, qui s’est tenu du 20 au 25 mai dernier en France…
Ils
ont fait honneur à toute la Nation béninoise à Toulouse. Les comédiens du
Centre d’accueil d’éducation et d’intégration des sourds du Bénin ont fait
forte sensation au Festival
international de théâtre ‘‘Eclair de
scène’’, qui s’est tenu du 20 au 25 mai dernier en France.
La délégation béninoise composée deux (02) encadreurs, Raymond Sèkpon, Hippolyte Ahouigbamey, et six (06) comédiens, Rissikatou Olakere, Nadège Gninkin, Jorita Agboyidou, Humabelle Da Matha, Marius Ahanhanzo, Carlos Stéphane Dindin, a réussi à tirer leurs épingles du jeu face à leurs concurrents venus de la France, pays hôte, de la Russie, de la Roumanie, de l’Espagne ,de la Moldavie, et de la Tunisie.
Pour
cause, les « Ambassadeurs » béninois au festival international de théâtre
‘‘Eclair de scène’’ sont revenus avec un trophée. Ledit trophée a d’ailleurs porté l’appréciation
du jury « une pièce porteuse d’un message et d’un témoignage qui nous fait
réfléchir l’intégration des différences ».
La contribution de la Fondation Claudine Talon, Asunoes-France, Asunoes-Belgique, des partenaires Félicienne Bankolé et Lucie Scalabrino s’est donc avérée utile.
Le président du parti Restaurer l’Espoir invite le chef de l’Etat à un combat. A l’occasion de sa sortie médiatique le lundi 27 mai dernier, Candide Azannaï a lancé un défi à Patrice Talon. En effet, l’ancien ministre de la défense a mis au défi l’actuel locataire de la marina de le vaincre sur le terrain de l’éloquence, voire du discours politique. Candide Azannaï a laissé entendre qu’il détient les recettes pour convaincre le peuple, à travers le discours politique.
Le
président du parti Restaurer l’Espoir invite le chef de l’Etat à un combat. A l’occasion
de sa sortie médiatique le lundi 27 mai dernier, Candide Azannaï a lancé un
défi à Patrice Talon. En effet, l’ancien ministre de la défense a mis au défi l’actuel
locataire de la marina de le vaincre sur le terrain de l’éloquence, voire du
discours politique. Candide Azannaï a laissé entendre qu’il détient les
recettes pour convaincre le peuple, à travers le discours politique.
« Cette
capacité de parler au peuple, nous la détenons, nous pouvons parler au peuple. Sans
corrompre le peuple, nous nous pouvons convaincre
le peuple », s’est vanté le président du parti Restaurer l’Espoir.
Par
contre, il a fait savoir que Patrice Talon ne possède pas ses qualités. Candide
Azannaï a laissé entendre que l’actuel locataire de la marina ne peut pas descendre
dans une localité et convaincre son auditoire à moins qu’il fasse recours à la
corruption. « … sans la corruption, Patrice Talon ne peut pas », soutient le
président du parti Restaurer l’Espoir.
Et
à ceux qui pourraient douter, Candide Azannaï se dit prêt pour un duel avec Patrice Talon. Un duel où il annonce déjà sa victoire.
« Dîtes
lui de venir dans cette rue pour parler aux populations, il sera hué, mais dites moi de descendre dans
cette rue, je serai acclamé… Faites une
compétition, dites à Patrice Talon de
choisir la rue de son choix, moi je ne veux pas choisir, lui-même, il choisit la rue qui lui plait. Vous l’invitez. Vous m’invitez. Vous verrez qui on va applaudir ? Lui sera hué. Je serai
porté en triomphe, mais lui sera tabassé… parce pendant des années, j’ai appris
à parler au peuple, mais lui, il a appris à faire du business », a-t-il lancé.
Kpakpato
Médias est trop pressé d’assister à ce combat entre ancien allié.
Bonne nouvelle pour les travailleuses de sexe de Cotonou et environs ! Le projet de promotion des droits humains et de santé sexuelle et reproductive des travailleuses de sexe de Cotonou et environs, initiative du Groupe d’appui aux initiatives féminines pour un développement intégré et durable (GAIFEDID ONG) et financé par Amplifychange a connu son envol le jeudi dernier à travers une cérémonie symbolique…
C’est
officiel ! Le projet de promotion
des droits humains et de santé sexuelle et reproductive des travailleuses de
sexe de Cotonou et environs, initiative du Groupe d’appui aux initiatives
féminines pour un développement intégré et durable (GAIFEDID ONG) et financé
par Amplifychange a connu son lancement ce jeudi 24 mai 2019 à l’Infosec de
Cotonou. C’était en présence des responsables de l’Ong, des Honorables Gérard
Gbénonchi et Ernest Mèdéwanou, des représentants du ministre de la santé, du
maire de Cotonou, des préfets du Couffo,
du Littoral, mais aussi et surtout des bénéficiaires du projet.
Manassé
AGBOSSAGA
Bonne
nouvelle pour les travailleuses de sexe de Cotonou et environs ! Le projet
de promotion des droits humains et de santé sexuelle et reproductive des
travailleuses de sexe de Cotonou et environs, initiative du Groupe d’appui aux
initiatives féminines pour un développement intégré et durable (GAIFEDID ONG)
et financé par Amplifychange a connu son envol le jeudi dernier à travers une
cérémonie symbolique.
A
l’occasion, la Directrice exécutive de l’Ong GAIFEDID a souligné que ce projet se chargera
de promouvoir les droits des travailleuses
de sexe, qui selon elle, subissent des
violences sexuelles, physiques, morales, économiques, …
Pour
Pauline Houndagba, les travailleuses de sexe constituent une couche
marginalisée. La directrice exécutive de l’Ong GAIFEDID a alors invité les acteurs
et les autorités à divers niveaux à protéger ces dernières, qui ont « des
droits comme tout le monde ».
Dans
ce sens, les représentants des préfets du Littoral, Emmanuel Hinvi, du Couffo,
Nassirou Farougou, du maire de Cotonou, Pauline Edoh et du ministre de la
santé, Clarisse Agonglo ont rassuré de l’appui institutionnel. Ils ont
toutefois insisté sur une synergie d’actions
pour l’atteinte des objectifs contenus dans le projet.
Pour
sa part, l’honorable Ernest Médéwanou a félicité l’Ong GAIFEDID et salué la
bravoure de Pauline Houndagba.
Après
quoi, son homologue Gérard Agbénonchi a procédé au lancement officiel du
projet. Il a rappelé que la constitution de 1990 confère des droits à chaque
citoyen. Le président de la commission des finances s’est d’ailleurs dit prêt à
accompagner toute loi à l’Assemblée nationale allant dans le sens du respect
des droits des travailleuses de sexe.
Un
nouveau jour s’ouvre peu à peu pour les travailleuses de sexe au Bénin !
Le gouvernement américain, précisément Donald Trump est au banc des accusés. La patronne de la diplomatie vénézuélienne au Bénin l’accuse de « crime contre l’humanité ». A la faveur d’une sortie médiatique dans la soirée du vendredi 24 mai dernier, l’Ambassadrice Belen Teresa ORSINI PIC a dénoncé une « violation massive des droits du peuple vénézuélien »…
Le Gouvernement américain enchaîne depuis 2014 lessanctions contre la République Bolivarienne . Face à la presse nationale, ce vendredi 24 mai 2019 à l’Infosec de Cotonou, l’Ambassadrice Belen Teresa ORSINI PIC a dénoncé ce blocus, accusant au passage Donald Trump et son administration de commettre un « crime contre l’humanité ».
Manassé
AGBOSSAGA
Le gouvernement américain, précisément Donald Trump est au banc des accusés. La patronne de la diplomatie vénézuélienne au Bénin l’accuse de « crime contre l’humanité ». A la faveur d’une sortie médiatique dans la soirée du vendredi 24 mai dernier, l’Ambassadrice Belen Teresa ORSINI PIC a dénoncé une « violation massive des droits du peuple vénézuélien ».
En
effet, elle a rappelé que de décembre 2014 à avril 2019, l’administration Trump
dicte sa loi à travers sept décrets exécutifs qui punissent et pénalisent l’économie
du Venezuela. Belen Teresa ORSINI PIC a
cité le blocage et la confiscation d’actifs financiers, l’interdiction de
la négociation de la dette souveraine du Venezuela et la dette du PDVSA, l’augmentation
du risque pays et des coûts financiers, l’interdiction des opérations avec de l’or
et des crypto-monnaies, la confiscation des actifs, les sanctions sur le
commerce du pétrole, les sanctions contre la banque centrale du Venezuela, et
enfin les amendes et pénalités administratives pour commerce.
Effets néfastes
Dans
son développement, l’Ambassadrice a démontré les effets néfastes de ces
différentes sanctions. Selon ses propos, 4,883 millions d’euro du Venezuela
sont bloqués dans les banques internationales.
Belen Teresa ORSINI PIC confie que ce montant est pourtant destiné à l’achat de la nourriture, des médicaments, des équipements de matières premières pour l’industrie.
En
outre, elle a confié que le blocus américain a entrainé un retard de 4 mois
dans le programme de vaccination, mais également perturbé le traitement de
milliers de patients hémodialysés. Belen
Teresa ORSINI PIC a d’ailleurs indiqué qu’en 2017 « les banques
internationales ont bloqué le paiement de 8 millions d’euros à l’achat de
fournitures pour la dialyse ».
La
patronne de la diplomatie de la République Bolivarienne près du Bénin a laissé
entendre que de 2015 à 2018, le total des pertes et des coûts pour l’économie vénézuélienne,
produit du blocus économique imposé par les Etats-Unis sont estimés à 116 376
millions d’euros.
Et
de lancer « les mesures coercitives unilatérales composent une stratégie
systématique et consciente de violation massive des droits du peuple vénézuélien
et ont été catalogués par l’ONU comme crimes contre l’humanité ».
Courage au
peuple vénézuélien !
En langage soutenu, on les appelle « travailleuse de sexe », mais « prostituée » ou « femme de nuit » en langage vulgaire ou ordurier. Leur profession, si c’en est une, fait l’objet de moqueries, injures et autres. Pire, les travailleuses de sexe sont victimes de plusieurs types de violences. Chose que déplore, Pauline Houndagba…
En
langage soutenu, on les appelle « travailleuse de sexe », mais « prostituée »
ou « femme de nuit » en langage vulgaire ou ordurier. Leur profession,
si c’en est une, fait l’objet de moqueries, injures et autres. Pire, les
travailleuses de sexe sont victimes de plusieurs types de violences. Chose que
déplore, Pauline Houndagba.
Loin de cautionner l’activité que mène les travailleuses de sexe, la Directrice exécutive du Groupe d’appui aux initiatives féminines pour un développement intégré et durable (GAIFEDID ONG) rappelle que ces dernières ont les mêmes droits que tous les béninois et toutes les béninoises.
« Les
travailleuses de sexe ont les mêmes droits que tout le monde », a-t-elle soutenu
à l’occasion du lancement du projet de promotion des droits humains et de santé
sexuelle et reproductive des travailleuses de sexe de Cotonou et environs, ce jeudi
23 mai 2019 à l’Infosec de Cotonou.
Pour
Pauline Houndagba, les travailleuses de sexe constituent une couche vulnérable,
voire marginalisée qu’il faut protéger. Elle
a donc invité les autorités à divers niveaux à œuvrer pour le respect des droits des travailleuses de sexe qui tous
les jours subissent des violences sexuelles, physiques, morales, économiques.
En
tous cas, Kpakpato Médias joue déjà sa partition, même si nous n’avons pas
encore eu recours au service de ces dernières.
Le projet Bj-Infodetox est officiellement dans sa phase active. Pour cause, l’acte 1 du projet a eu lieu dans la matinée du vendredi 17 mai à Cotonou, plus précisément à la bourse du travail.Des conducteurs de taxi-motos communément appelés ‘‘Zemidjan’’ et des ‘‘Faiseurs d’opinion’’ ont massivement répondu à l’appel des membres de l’équipe de Bj-Infodetox (Akimbi Ayékô-oÏto Awo, Doskoff Dutheuil Kouye, Bénilde Akambi et Elvire Hodonou).
Acte 1 du projet Bj-Infodetox ! Des conducteurs de taxi-motos communément appelés ‘‘Zémidjan’’ et ‘‘Faiseurs d’opinion’’ ont pris part, ce vendredi 17 mai 2019 à la bourse du travail, à une session de formation et de sensibilisation sur les ‘‘Fake News’’. Cette initiative qui bénéfice de l’appui de l’Ambassade des USA près le Bénin vise à faire de ces derniers des « Combattants résolus à la cause de l’information vraie et fiable ».
Manassé AGBOSSAGA
Le
projet Bj-Infodetox est officiellement dans sa phase active. Pour cause, l’acte
1 du projet a eu lieu dans la matinée du vendredi 17 mai à Cotonou, plus
précisément à la bourse du travail.
Des
conducteurs de taxi-motos communément appelés ‘‘Zemidjan’’ et des ‘‘Faiseurs
d’opinion’’ ont massivement répondu à
l’appel des membres de l’équipe de Bj-Infodetox (Akimbi Ayékô-oÏto Awo, Doskoff
Dutheuil Kouye, Bénilde Akambi et Elvire Hodonou).
A
l’occasion, le Coordonateur de Bj-Infodetox a rappelé aux uns et aux autres que
les ‘‘Fake News’ constituent le plat de résistance de la séance.
Méchac
Awokoloito a ensuite fait savoir que les
‘‘Fakes News’’ sévissent dans notre pays et menacent la paix, la tolérance et
la quiétude sociale.
Il
a alors fait savoir que Bj-Infodeyox a, avec l’appui de l’Ambassade de USA près
le Bénin, décidé de repousser ces
différents risques.
Pour lui, cette formation au profit des ‘‘Faiseurs d’opinion, qui restent des observateurs et analystes attentifs de l’actualité, et des Zémidjans, qui commentent l’actualité avec fougue et énergie, permettra à ces derniers d’apprendre les attitudes idéales à avoir face à l’information qui parvient. Et de lancer « A terme, cette formation, fera de nous, des combattants résolus à la cause de l’information vraie et fiable ».
Après
quoi, Mahoussi Wenceslas, Dr en Sciences
de l’information et de la communication a entretenu les récipiendaires sur les ‘‘Fake
News’’. Il a mis un accent particulier sur les sanctions et peines prévues dans
le droit positif béninois pour punir les créateurs et diffuseurs des ‘‘Fake
News’’.
Mieux
aguerris sur la problématique des ‘‘Fake News’’, les ‘‘Zem’’ et ‘‘Faiseurs
d’opinion’’ ont salué l’initiative et félicité l’équipe de Bj-Infodetox. Ils
ont proposé que l’initiative se répète et s’étendre à d’autres localités.
En
attendant, les ‘‘Zémidjans’’ ont reçu des uniformes de travail, tandis que les ‘‘Faiseurs
d’opinion’’ ont bénéficié des Flyers.
Place
désormais à Glazoué et Parakou dans les jours à
venir
pour la suite du projet.
Lire l’intégralité du
discours du Coordonateur Méchac Awo
FORMATION DES
ZEMS ET FAISEURS D’OPINION SUR LES FAKE NEWS
Bourse du Travail, le 17 mai 2019
MOT DE BIENVENUE
CHERS
CONDUCTEURS DE TAXI MOTO
CHERS FAISEURS
D’OPINION
CHERS INVITES EN
VOS RANGS RESPECTIFS
CHERS AMIS
Soyez les bienvenus
à ce rendez-vous
Je voudrais
d’entrée remercier votre présence massive à cette rencontre longtemps
planifiée. Cela montre combien vous chérissez la paix et la cohésion sociale
dans notre pays.
Je m’en voudrais de ne pas saluer vos responsables
respectifs qui ont été nos principaux interlocuteurs pendant toute la phase
préparatoire de cette activité. A chaque fois, ils se sont montrés disponibles,
accessibles et surtout dignes des responsabilités que vous leur avez confiés.
Grand merci à vous responsables d’organisations de Zémidjan
et de Faiseurs d’opinion.
CHERS AMIS,
L’objet de notre rencontre dans cette salle de la
Bourse du Travail en ce jour vendredi 17 mai 2019, c’est les Fake News. Au
risque de me confondre dans les attributions de notre Expert-formateur,
Monsieur Wenceslas MAHOUSSI, Docteur en Science de l’Information et de la
Communication, je me limiterai à dire que les Fake News ou fausses informations
existaient depuis très longtemps, aussi longtemps qu’existent les Hommes. Le
XXIèmesiècle a été le théâtre de sa plus grande expansion due à l’avènement d’internet et des
réseauxsociaux tels que Facebook et
Whatsapp. Au Bénin, elles ont connu une ascension fulgurante en 2016. Jusqu’à
nos jours, elles sévissent et continueront ainsi avec leurs nombreux risques
pour la paix, la tolérance et la quiétude sociale. Il est donc impérieux de
réagir.
Ce sont ces risques que l’équipe de Coordination du
Projet BJ-INFODETOX a jugé bon de repousser avec l’appui de l’Ambassade des Etats Unis près le Bénin. Les américains ont accepté de nous accompagner
dans les cibles que nous avions identifiées à savoir : les Faiseurs
d’opinion et les Zémidjan.
Pour quoi ceux-là ?
Les Faiseurs d’opinion parce qu’ils sont des
observateurs et analystes attentifs de l’actualité qui s’attachent à la bonne
information. Et c’est pourquoi, ils sont les plus fidèles intervenants sur les
émissions de grogne sur les chaines de radio.
Les Zémidjan parce que, en circulation comme à leurs lieux de rassemblement, ils
commentent l’actualité avec fougue et énergie. A ces occasions, chacun y va de
son analyse et sciemment ou involontairement,répandent des informations soit
fausses, soit non exhaustives.
CHERS AMIS,
Combien de fois n’avions-nous pas appris que telle
ou telle autre personne a été arrêtée, emprisonnée ou au meilleur des cas a dû
payer une amende pour avoir créé et/ou diffusé un mensonge, une diffamation ou
une propagande. C’est pour éviter que de telles choses se répètent,
qu’aujourd’hui nous apprendrons les attitudes idéales à avoir face
àl’information qui nous parvient. A terme, cette formation fera de nous, des
combattants résolus à la cause de l’information vraie et fiable :
Des Ambassadeurs
de la Bonne nouvelle.
C’est pourquoi, je voudrais nous exhorter à rester
très attentifs aux explications de l’expert-formateur et à ne pas hésiter à lui
poser toutes les questions possibles sur la thématique des Fake News.
Sur ces mots, je vous souhaite une très bonne
séance.
VIVE LA LUTTE
CONTRE LES FAKES NEWS !
VIVES LES
ZEMIDJANS ET FAISEURS D’OPINION AMBASSADEURS DE LA BONNE NOUVELLE !
Le plan d’action du Cadre national pour les services climatiques est au scanner. Pour cause, ledit plan fait l’objet d’un atelier national de validation, depuis ce jeudi 16 mai. A l’occasion, le directeur général de la météorologie a indiqué que cet atelier revêt un intérêt capital pour la Nation béninoise. Marcellin Nakpon a fait savoir qu’il contribuera à la visibilité de la direction de la météorologie, mais aussi et surtout de mettre en lumière le rôle transversal que joue la météorologie sur le développement…
L’Infosec de Cotonou abrite depuis ce jeudi 16 mai 2019 un atelier national de validation du plan d’action du Cadre national pour les services climatiques. Pendant deux jours, acteurs de la météorologie, de la climatologie, de l’Agriculture et autres auront à examiner, étudier et amender le projet de document, mais aussi et surtout à proposer des interventions prioritaires permettant d’améliorer les services et informations climatologiques au Bénin. C’est le directeur de cabinet du ministre des transports qui a lancé les travaux.
Manassé AGBOSSAGA
Le
plan d’action du Cadre national pour les services climatiques est au scanner.
Pour cause, ledit plan fait l’objet d’un atelier national de validation, depuis
ce jeudi 16 mai. A l’occasion, le directeur général de la météorologie a
indiqué que cet atelier revêt un intérêt capital pour la Nation béninoise.
Marcellin Nakpon a fait savoir qu’il
contribuera à la visibilité de la direction de la météorologie, mais aussi et
surtout de mettre en lumière le rôle transversal que joue la météorologie sur le développement.
Le
directeur de la direction générale de la météorologie a été soutenu par les
représentants de la communauté
économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cédeao), du Cadre mondial des services
climatiques et du représentant résident du système des nations unies.
Procédant
au lancement de l’atelier, le directeur de cabinet du ministre des Transports a
rappelé que le cadre national pour les services climatiques vise à renforcer
l’information climatique d’une part, améliorer les prévisions climatologiques
d’autre part, afin de répondre aux besoins des utilisateurs
et décideurs.
Il
a ensuite indiqué que cet atelier qui dure deux jours sera l’occasion pour les
divers acteurs réunis d’ examiner, d’étudier
et d’amender le projet de document, mais aussi et surtout de proposer des
interventions prioritaires permettant d’améliorer les services et informations
climatologiques au Bénin.
Le
directeur de cabinet du ministre des transports reste convaincu que de cet
atelier sortira un document de qualité dont l’opérationnalisation permettra la
fourniture des services et informations météorologiques et climatologiques
fiables et en temps opportun.
Pour
atteindre cet objectif, un présidium composé de quatre membres a été mis sur
pied. Sur la supervision de ces derniers, les acteurs sont appelés à passer,
entre autres, en revue le Plan d’action du CNSC, le processus de développement
du plan, l’état des lieux des services climatiques au Bénin, les secteurs
prioritaires, …
En prélude à l’organisation en septembre prochain, à Cotonou, de la 22è édition du « Colloque international en évaluation environnementale », l’Agence béninoise pour l’environnement a présenté, ce jeudi 10 mai 2019 à l’hôtel Golden Tulip, les grandes lignes des assises. A l’issue de ce rendez-vous qui a connu la participation des autorités à divers niveaux, dont les ministres de l’Agriculture, Gaston Dossouhoui, et du Cadre de vie, José Didier Tonato, le président du Comité national de suivi de la filière dragage de sable, Claude Agbado a salué la tenue de ce colloque sur le sol béninois.
En prélude à l’organisation en septembre prochain, à Cotonou, de la 22è édition du « Colloque international en évaluation environnementale », l’Agence béninoise pour l’environnement a présenté, ce jeudi 10 mai 2019 à l’hôtel Golden Tulip, les grandes lignes des assises. A l’issue de ce rendez-vous qui a connu la participation des autorités à divers niveaux, dont les ministres de l’Agriculture, Gaston Dossouhoui, et du Cadre de vie, José Didier Tonato, le président du Comité national de suivi de la filière dragage de sable, Claude Agbado a salué la tenue de ce colloque sur le sol béninois.
Manassé AGBOSSAGA
En
septembre prochain, Cotonou sera la capitale des questions environnementales et
foncières. Pour cause, le Bénin abritera la 22è édition du « Colloque
international en évaluation environnementale». Et pour le président du Comité
national de suivi de la filière dragage de sable, c’est un véritable honneur
pour le pays d’accueillir ce rendez-vous international.
Interrogé
à l’issue d’une conférence publique organisée par l’Agence béninoise pour l’environnement,
Claude Agbado a indiqué que ce colloque
qui se tient sous le thème : « Evaluation environnementale et enjeux
fonciers » permettra au Bénin d’écrire une nouvelle histoire sur les
questions liées à l’environnement et au foncier.
Selon
lui, cette assise sera l’occasion pour les experts et acteurs d’insister sur la
nécessité pour chacun d’entretenir son cadre de vie, et donc l’environnement.
Claude
Agbado a aussi fait savoir que ce colloque permettra également de toucher une
question fondamentale qui touche le Bénin sur le plan foncier. En effet, il a
indiqué que le colloque pourrait permettre aux populations béninoises de
comprendre que la terre n’appartient pas à un individu, mais reste la propriété
de l’Etat.
Pour
lui, les spécialités pourront donc à l’occasion expliquer et mettre en exergue la notion de
propriété foncière. Il a ajouté que les zones humides ne peuvent pas avoir de
propriétaire en terme privé. Et de lancer « Ce colloque est le bienvenu
au Bénin ».
Sur ce plan, il a émis le vœu que ce colloque soit
ouvert à tous.
Rosine Soglo a adressé un message spécial à Parfaite, l’humaine, qui s’est autoproclamée dieu. Aux côtés de Candide Azannaï, Boni Yayi, Nicéphore Soglo et autres, lors de la sortie médiatique des forces de l’opposition, ce lundi 29 avril, la présidente de la Renaissance du Bénin s’est offusquée des injures proférées à son encontre par ‘‘Parfaite, dieu de Banamè’’. Elle a d’ailleurs invité, Parfaite, supportrice numéro 1 du bloc républicain, à arrêter son « cinéma »…
Rosine
Soglo a adressé un message spécial à Parfaite, l’humaine, qui s’est
autoproclamée dieu. Aux côtés de Candide Azannaï, Boni Yayi, Nicéphore Soglo et
autres, lors de la sortie médiatique des forces de l’opposition, ce lundi 29
avril, la présidente de la Renaissance du Bénin s’est offusquée des injures proférées
à son encontre par ‘‘Parfaite, dieu de Banamè’’. Elle a d’ailleurs invité, Parfaite,
supportrice numéro 1 du bloc républicain,
à arrêter son « cinéma ».
« Parfaite,
qui que tu sois, garde toi, de m’insulter encore,… C’est la dernière fois
que tu m’insultes, ne m’injurie plus jamais » a prévenu la Doyenne d’âge.
Comme
elle sait si bien le faire, Rosine Soglo a ensuite donné des coups à Parfaite
de Banamè. Elle a laissé entendre que Parfaite qui a pris l’habitude d’insulter
les personnes âgées mérite de séjourner dans un centre psychiatrique.
«
Tu peux faire ton cinéma avec les autres. Tu ne peux pas faire ton cinéma avec moi…Une femme
comme toi, c’est jacquot qui lui faut », a-t-elle ironisé, avant d’ajouter
« Cette manière que tu as d’insulter les
grandes personnes, les vieux, un de ces jours, ça va te rester dans la gorge ».
Rosine
Soglo, Parfaite de Banamè, le clash se poursuit donc.
En
bon kpakpato, kpakpato médias se fera le plaisir de relayer ce type de palabre.
Martine de Souza Atignon a officialisé sa candidature pour les élections à la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication. L’expérimentée et brillante journaliste de la radio nationale a choisi l’après-midi du jeudi 25 avril pour le dépôt de son dossier de candidature. Et c’est à 15h30, vêtue dans un joli modèle traditionnel, couleur blanche, qu’elle a franchi les portes de la commission électorale autonome, avec à ses côtés, l’émérite journaliste, Gédéon Vègba.
C’est officiel ! L’expérimentée et brillante journaliste de la radio nationale, Martine De Souza Atignon est candidate au poste de conseiller à la Haute autorité de l’audiovisuel de la communication (Haac), catégorie presse audiovisuelle. Elle a déposé avec brio son dossier de candidature, dans l’après-midi de ce jeudi 25 avril 2019 au siège de la commission électorale autonome, situé à la maison des médias.
Manassé AGBOSSAGA
Martine de Souza Atignon a officialisé sa candidature pour les élections à la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication. L’expérimentée et brillante journaliste de la radio nationale a choisi l’après-midi du jeudi 25 avril pour le dépôt de son dossier de candidature. Et c’est à 15h30, vêtue dans un joli modèle traditionnel, couleur blanche, qu’elle a franchi les portes de la commission électorale autonome, avec à ses côtés, l’émérite journaliste, Gédéon Vègba.
A
cette étape, les choses sont d’ailleurs allées très vite. Le sens
d’anticipation, le professionnalisme et
la rigueur de la candidate ont facilité la tâche aux agents de la Commission
électorale. Preuve, le contrôle des pièces s’est fait en un laps de temps. Et à
l’arrivée, Martine de Souza Atignion a obtenu son récépissé, confirmant qu’elle
sera bien présente dans le starting-block des candidats au poste de conseiller
à la Haac.
A
la fin de ce qu’on pourrait qualifier de formalité, Martine de Souza Atignon a
livré ses impressions de joie à la
presse. Elle s’est dit heureuse d’avoir réussi avec brio cette première étape
du processus électoral. Et pour la suite
du calendrier électoral, Martine de Souza Atigon a affiché un optimisme béant. « Je suis sereine, rassurée de ce que, ceux qui doivent conduire cette élection
feront le nécessaire pour que tout le monde s’en sorte, pour que les choses se
passent bien», a-t-elle affirmé.
En
attendant, elle a confié que cette semaine reste décisive, puisqu’elle permettra de connaître les
candidats aux différents postes et par ricochet ses challengers.
Avec
ses 20 ans de service, tant à radio Parakou, qu’au niveau de Cotonou,
Martine de Souza Atignon n’a d’ailleurs aucune raison de trembler devant ses
challengers. Son expérience est un puissant outil pour la défense de ses idées,
ses ambitions au profit des professionnels des médias.
La
campagne le confirmera.