Vie des syndicats : Le Syntra-Mcri devient le Syntra-Jri

Le Syndicat national des travailleurs de l’ex-ministère chargé des relations avec les institutions (Syntra-Mcri) change  de dénomination.

C’était annoncé, et c’est désormais officiel. Le Syndicat national des travailleurs de l’ex-ministère chargé des relations avec les institutions (Syntra-Mcri) change  de dénomination. Sa nouvelle appellation: le Syndicat national des travailleurs de la justice et des relations avec les institutions (Syntra-Jri ) .

La décision a été prise lors du 4è congrès ordinaire tenu le vendredi 27 avril 2018 au tribunal de première instance de Cotonou. Mis sur les fonts baptismaux en  2003 à la faveur de son congrès constitutif, les militants de l’ex Syntra-Mcri ont opté pour ce changement de dénomination suite à la fusion du ministère chargé des relations avec les institutions à  celui de la justice depuis l’avènement du régime du Nouveau départ en avril 2016. Cette nouvelle dénomination aurait l’avantage de concilier la sauvegarde de l’identité d’anciens cadres de l’ex Mcri des militants et l’ouverture à leur  nouveau secteur d’activités,  la justice

Et à en croire la déclaration d’orientation lue par Yves Amoussou, le Syntra-Jri mérite  l’attention des autorités actuelles pour un dialogue franc, sincère et constructif.

Le ministre de la Justice, Joseph Djogbénou est donc interpellé.

Manassé AGBOSSAGA

Vie des syndicats : Le Syntra-Mcri en congrès vendredi prochain

ce rendez-vous offre un cocktail très varié. Pour cause,  les congressistes procéderont,  au cours des travaux, au renouvellement des instances dirigeantes avec à sa tête Christian Dagba, au toilettage des textes, à la définition de nouvelles stratégies. L’autre axe de  ce congrès est le changement de dénomination…

Les militants du Syndicat des travailleurs de l’ex ministère chargé des relations avec les institutions (Syntra-Mcri) se réunissent ce vendredi 27 avril 2018 à Cotonou. Christian Dagba et les siens tiennent leur 4è congrès ordinaire. Selon les informations reçues, ce rendez-vous offre un cocktail très varié. Pour cause,  les congressistes procéderont,  au cours des travaux, au renouvellement des instances dirigeantes avec à sa tête Christian Dagba, au toilettage des textes, à la définition de nouvelles stratégies. L’autre axe de  ce congrès est le changement de dénomination. L’ex-Ministère chargé des relations avec les institutions fusionné au ministère de la Justice depuis l’avènement du Nouveau départ, le Syntra-Mcri pourrait être conjugué au passé pour donner naissance à une nouvelle dénomination.

Christian Dagba et les siens se retrouvent donc peut-être pour la dernière fois avec la dénomination  secrétaire général et militants du Syntra-Mcri.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin: Les travailleurs de la Justice en sit-in ce lundi

La Chancellerie vibre ce  lundi 23 avril 2018 aux rythmes et aux sons  des vouvouzelas, des tams-tams, des cris et autres chants hostiles…

La Chancellerie vibre ce  lundi 23 avril 2018 aux rythmes et aux sons  des vouvouzelas, des tams-tams, des cris et autres chants hostiles. Pour cause, les travailleurs de la justice, réunis au sein du  Syndicat des travailleurs de la justice  (Syntra-Justice), de l’Union nationale du personnel de la justice (Unp-Justice) et autres syndicats de la maison justice organisent un sit-in à la Chancellerie.

Selon des informations reçues, les travailleurs de la justice entendent à travers ce mouvement de protestation exiger l’abandon définitif de la  délocalisation du siège du ministère de la Justice sur Porto-Novo à des fins politico politiciennes, à la rétrocession des salaires défalqués,…

Nous y reviendrons !

Manassé AGBOSSAGA

Boucle ferroviaire: Talon confirme l’option chinoise

Dans l’entretien accordé aux journalistes de Rfi et Tv5 et diffusé ce dimanche 22 avril 2018, Patrice Talon a abordé le dossier boucle ferroviaire. Sur le sujet, le président de la République a définitivement mis un terme aux rumeurs et confirmé au passage l’option chinoise.

Dans l’entretien accordé aux journalistes de Rfi et Tv5 et diffusé ce dimanche 22 avril 2018, Patrice Talon a abordé le dossier boucle ferroviaire. Sur le sujet, le président de la République a définitivement mis un terme aux rumeurs et confirmé au passage l’option chinoise. Patrice Talon a exprimé sa volonté de voir le groupe Petrollin et le groupe Bolloré  se retirer à l’amiable pour confier le dossier aux chinois. Dans son argument, le président de la République a confié que le groupe Petrollin et Bolloré n’ont pas les investissements nécessaires pour assurer la construction de rails moderne et de qualités. Patrice Talon  indique alors qu’il ne serait pas intelligent de saisir l’opportunité de la Chine, qui offre plus de 60 milliards de dollars d’aide aux pays africains.

Claudine Prudencio qui demandait à être informé officiellement sur la volonté de l’Etat béninois à retirer le groupe Petrollin sur le dossier boucle ferroviaire sait désormais à quoi s’en tenir.

Manassé AGBOSSAGA

Justice/Grève: Plusieurs syndicats apportent leur soutien à l’Unamab

L’Union nationale des magistrats du Bénin (Unamab) peut compter sur l’appui des autres syndicats de la maison justice pour continuer sa grève. Le Syntra-Justice, l’Unp-Justice et autres syndicats ont effectué une sortie médiatique ce  jeudi 19 février 2018 à Cotonou  pour déclarer leur soutien à l’Unamab.

L’Union nationale des magistrats du Bénin (Unamab) peut compter sur l’appui des autres syndicats de la maison justice pour continuer sa grève. Le Syntra-Justice, l’Unp-Justice et autres syndicats ont effectué une sortie médiatique ce  jeudi 19 février 2018 à Cotonou  pour déclarer leur soutien à l’Unamab.

Manassé AGBOSSAGA

C’est sans doute un soutien moral pour l’Union nationale des magistrats du Bénin (Unamab). Le Syndicat des travailleurs de la justice  (Syntra-Justice), l’Union nationale du personnel de la justice (Unp-Justice) et autres syndicats de la maison justice ont effectué une déclaration de soutien aux magistrats en grève. Pour Kuassi Cakpo-Béssé, les magistrats autrefois messie sont aujourd’hui « diabolisés, exposés, provoqués intimidés et humiliés ». Le secrétaire général du Syntra-Justice s’interroge sur le fait que seuls les magistrats aient été défalqués à plus de 80% pendant que les agents de la santé, des enseignements secondaires, … n’aient pas connu le même sort.

Et comme s’il avait la réponse à sa question, Kuassi Cakpo-Béssé fait savoir que le pouvoir actuel a pour objectif,  la vassalisation du pouvoir judiciaire par le musèlement des organisations syndicales dudit secteur à travers des intimidations, menaces réquisitions illégales, la confiscation des salaires déguisée en défalcations sauvages et discriminatoires.

Face à cela, il invite le peuple béninois et toutes les organisations syndicales à soutenir l’Unamab dans sa lutte.

« Peuple béninois, tu dois te lever pour sauver la justice en renforçant la lutte que mènent les magistrats réunis au sein de l’Unamab », lance le porte-parole du Collège.

Un appel qui a reçu l’aval de la Confédération syndicale des travailleurs Bénin, qui par la voix de Mathurine Sossoukpè a  encouragé l’Unamab.

Réagissant à ces différents  soutiens, le nouveau patron de l’Unamab a loué l’initiative. Marc Robert Dadaglo a remercié ses camarades de lutte pour ce soutien que l’Unamab approuve.

Bénin: Les travailleurs de la Justice en sit-in ce lundi

La Chancellerie vibre ce  lundi 23 avril 2018 aux rythmes et aux sons  des vouvouzelas, des tams-tams, des cris et autres chants hostiles. Pour cause, les travailleurs de la justice, réunis au sein du  Syndicat des travailleurs de la justice  (Syntra-Justice), de l’Union nationale du personnel de la justice (Unp-Justice) et autres syndicats de la maison justice organisent un sit-in à la Chancellerie…

La Chancellerie vibre ce  lundi 23 avril 2018 aux rythmes et aux sons  des vouvouzelas, des tams-tams, des cris et autres chants hostiles. Pour cause, les travailleurs de la justice, réunis au sein du  Syndicat des travailleurs de la justice  (Syntra-Justice), de l’Union nationale du personnel de la justice (Unp-Justice) et autres syndicats de la maison justice organisent un sit-in à la Chancellerie.

Selon des informations reçues, les travailleurs de la justice entendent à travers ce mouvement de protestation exiger l’abandon définitif de la  délocalisation du siège du ministère de la Justice sur Porto-Novo à des fins politico politiciennes, à la rétrocession des salaires défalqués,…

Nous y reviendrons !

Manassé AGBOSSAGA

Boucle ferroviaire: Talon confirme l’option chinoise

Talon a exprimé sa volonté de voir le groupe Petrolin et le groupe Bolloré  se retirer à l’amiable pour confier le dossier aux chinois…

Dans l’entretien accordé aux journalistes de Rfi et Tv5 et diffusé ce dimanche 22 avril 2018, Patrice Talon a abordé l’épineux  dossier boucle ferroviaire. Sur le sujet, le président de la République a mis un terme aux rumeurs et confirmé au passage l’option chinoise. Patrice Talon a exprimé sa volonté de voir le groupe Petrolin et le groupe Bolloré  se retirer à l’amiable pour confier le dossier aux chinois. Dans son argument, le président de la République a confié que le groupe Petrolin et Bolloré n’ont pas les investissements nécessaires pour assurer la construction de rails moderne et de qualités. Patrice Talon  indique alors qu’il ne serait pas intelligent de saisir l’opportunité de la Chine, qui offre plus de 60 milliards de dollars d’aide aux pays africains.

Claudine Prudencio qui demandait à être informé officiellement sur la volonté de l’Etat béninois à retirer le groupe Petrolin sur le dossier boucle ferroviaire sait désormais à quoi s’en tenir.

Manassé AGBOSSAGA

Justice/Grève: Plusieurs syndicats apportent leur soutien à l’Unamab

C’est sans doute un soutien moral pour l’Union nationale des magistrats du Bénin (Unamab). Le Syndicat des travailleurs de la justice  (Syntra-Justice), l’Union nationale du personnel de la justice (Unp-Justice) et autres syndicats de la maison justice ont effectué une déclaration de soutien aux magistrats en grève…

L’Union nationale des magistrats du Bénin (Unamab) peut compter sur l’appui des autres syndicats de la maison justice pour continuer sa grève. Le Syntra-Justice, l’Unp-Justice et autres syndicats ont effectué une sortie médiatique ce  jeudi 19 février 2018 à Cotonou  pour déclarer leur soutien à l’Unamab.

Manassé AGBOSSAGA

C’est sans doute un soutien moral pour l’Union nationale des magistrats du Bénin (Unamab). Le Syndicat des travailleurs de la justice  (Syntra-Justice), l’Union nationale du personnel de la justice (Unp-Justice) et autres syndicats de la maison justice ont effectué une déclaration de soutien aux magistrats en grève. Pour Kuassi Cakpo-Béssé, les magistrats autrefois messie sont aujourd’hui « diabolisés, exposés, provoqués intimidés et humiliés ». Le secrétaire général du Syntra-Justice s’interroge sur le fait que seuls les magistrats aient été défalqués à plus de 80% pendant que les agents de la santé, des enseignements secondaires, … n’aient pas connu le même sort.

Et comme s’il avait la réponse à sa question, Kuassi Cakpo-Béssé fait savoir que le pouvoir actuel a pour objectif,  la vassalisation du pouvoir judiciaire par le musèlement des organisations syndicales dudit secteur à travers des intimidations, menaces réquisitions illégales, la confiscation des salaires déguisée en défalcations sauvages et discriminatoires.

Face à cela, il invite le peuple béninois et toutes les organisations syndicales à soutenir l’Unamab dans sa lutte.

« Peuple béninois, tu dois te lever pour sauver la justice en renforçant la lutte que mènent les magistrats réunis au sein de l’Unamab », lance le porte-parole du Collège. Un appel qui a reçu l’aval de la Confédération syndicale des travailleurs Bénin, qui par la voix de Mathurine Sossoukpè a  encouragé l’Unamab.

Réagissant à ces différents  soutiens, le nouveau patron de l’Unamab a loué l’initiative. Marc Robert Dadaglo a remercié ses camarades de lutte pour ce soutien que l’Unamab approuve.

Rapport 2017 d’Amnesty international/ Peine de mort: Bénin, bon élève, mais…

Il faut féliciter l’Etat d’avoir commué la peine des 14 condamnés », se réjouit le Directeur exécutif d’Amnesty international Bénin…

Le Bénin n’est pas épinglé par le rapport d’Amnesty International sur les condamnations à mort et exécution pour le compte de l’année 2017. Abolitionniste de la peine de mort depuis 2016, le pays ne figure pas sur la liste des mauvais élèves en termes de condamnations à mort et d’exécution des citoyens. Le directeur exécutif d’Amnesty International Bénin a    d’ailleurs exprimé sa satisfaction. A l’occasion du lancement du rapport 2017, Fidele Kikan  s’est réjouit de la modification de la peine des 14 condamnés à la peine capitale.

« C’est un pas.  Il faut féliciter l’Etat d’avoir commué la peine des 14 condamnés », se réjouit le Directeur exécutif d’Amnesty international Bénin.

Toutefois,  il invite les autorités béninoises à plus s’investir pour le respect du droit à la vie. Fidele Kikan fait savoir qu’Amnesty national n’a jamais encouragé la condamnation à perpétuité.

« Condamné à perpétuité demeure encore une mise en mal de la jouissance du droit à la vie…Nous voulons inviter notre gouvernement à aller au’- delà », plaide t-il.

L’autre plaidoyer fait par le directeur d’Amnesty international Bénin, c’est la criminalisation, au plan légal, des actes de vindicte populaire, de torture, …

Les autorités concernées décideront…

Manassé AGBOSSAGA

Serge Prince Agbodjan : « Au Bénin, les défenseurs des droits humains ne sont pas protégés »

Serge Prince Agbodjan a déploré la situation des défenseurs des droits humains dans son pays. Pour le Juriste, les   défenseurs des droits humains sont la cible d’acte de répression en raison de leur engagement  en faveur des droits humains et des libertés publiques…

Les défenseurs des droits humains ne bénéficient pas d’une protection au Bénin. Le réquisitoire est signé du juriste et président de la Coalition des défenseurs des droits humains, Serge Prince Agbodjan.

Manassé AGBOSSAGA

Présent au lancement du Rapport 2017 d’Amnesty International par la section Bénin sur les condamnations à mort et exécution tenu ce jeudi 12 avril 2018 au siège de l’organisme, Serge Prince Agbodjan a déploré la situation des défenseurs des droits humains dans son pays. Pour le Juriste, les   défenseurs des droits humains sont la cible d’acte de répression en raison de leur engagement  en faveur des droits humains et des libertés publiques. Se faisant, le  président de la Coalition des défenseurs des droits humains fustige les campagnes de diffamations, et de dénigrements orchestrés contre ces derniers sur les réseaux sociaux ou dans les médias.

Dans son réquisitoire, Serge Prince Agbodjan a aussi mis en avant les menaces de mort, les mauvais traitements  dont sont victimes les défenseurs des droits humains.

Et de lancer « Au Bénin, les défenseurs des droits humains ne sont pas protégés »

Le président de la Coalition des droits humains  invite les pouvoirs publics et politiques à corriger le tir en adoptant des lois qui protègent les défenseurs des droits humains.

Son appel sera t-il entendu ?